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Tout ce que m'évoque notre monde et notre univers... Des paroles, des démarches, des lectures ou des visuels,...du réel et des utopies...

15 Mar

La consommation et la pollution de la planète

Publié par Sorel LACKMY  - Catégories :  #planète, #ecologie, #ecology, #earth, #politique, #industrie, #pollution, #consommation, #consommateurs, #Terre, #vivre, #achat, #population, #crise, #santé, #covid19, #corona virus, #medical, #mondial, #comportement, #change, #changement, #mouvement, #transports, #épidémie, #pandémie, #Nature, #pays, #déplacement, #guerre, #voiture, #avion, #numerique, #humanité, #danger, #réponse, #solutions, #gouvernement, #écologiste, #misère, #développement, #production, #humain

La Nature respire un peu mieux depuis la propagation mondiale du virus covid-19 (coronavirus). 

Quel paradoxe avec cette crise sanitaire mondiale incroyable !

Dans quel monde vivons-nous ? Un monde de La Nature, oui, c'est vrai mais qui ne veut pas se sortir de la misère ? Qui ne veut pas vivre plus simplement, avec ce qu'on appelle le minimum vital pour être heureux ? Il y a longtemps que l'humanité a découvert le feu, et depuis ce temps lointain, les progrès de l'humanité sont bien visibles et impactent la nature. Le monde entier s'en inquiète depuis les années 20 mais surtout depuis la fin des années 80.

Mais cependant, qu'est ce que le minimum vital pour bien vivre ?

Cette notion change en fonction des peuples, des régions, des pays, des cultures, des genres et des âges aussi. Depuis la révolution industrielle du XIXème siècle, les choses ont évolué de manière exponentielle notamment pour la santé, l'habitat, les techniques, l'alimentaire, les transports. Tout s'est vraiment  réellement accéléré après la seconde guerre mondiale, avec de grosses avancées techniques. Pourtant en ce troisième millénaire, dans de nombreuses régions du monde, l'humanité souffre encore toujours de malnutrition, de la fracture technique, et surtout souvent du manque de sécurité sanitaire !

Et depuis la fin du XXème siècle, les peuples se rendent bien compte que quelque chose ne va plus pour leur environnement, que les comportements humains doivent changer car la santé de notre planète est vraiment en danger. Il faut penser en danger pour la survie d'une grande partie des humains, car la planète nous survivra quelque soit les changements que l'humanité ou d'autres phénomènes provoqueraient. 

Et depuis quelques années, dans beaucoup de pays développés, on presse un peu les populations à  changer leurs façons de consommer pour préserver, sauver la planète. Les populations de ces pays achètent trop, consomment trop, voyagent trop, naviguent trop sur internet, occasionnent trop de données à stocker sur les datacenters mondiaux. tous ces usages se sont révélés néfastes et destructeurs pour la santé de la planète. Peux t-on demander aux résidents des pays développés de réduire leur confort ? L'actualité de l'environnement demande à ce qu'ils ne profitent plus autant des progrès techniques, et qu'ils réduisent leurs loisirs, afin de diminuer l'impact désastreux qu'a l'activité humaine. Celà est compliqué quand on sait que ces peuples ont encore un peu en mémoire les difficultés de vie qu'ont rencontré leurs aïlleux. Les évolutions de ces dernières décennies sont faramineuses, surtout depuis l'avènement de la société digitalo-numérique.

En même temps, et ce surtout depuis la fin du XIXème grâce aux nouvelles techniques de transport, des groupes humains migrent pour fuir les problèmes qu'ils subissent dans leur pays: guerre, faim, manque d'éducation, dictature, discrimination, violences, chômage... Vu les immigrations qu'ont connues la plupart des pays développés, est-ce que les personnes de ces pays peuvent demander à ces gens récemment arrivés, de ne pas consommer comme eux ? De ne pas avoir de voitures, ni de téléviseur grande taille, de réfrigérateur, de machines à laver, de smartphone ou tout simplement de voiture ? Eh bien... non ? Ces populations sortent de loin, et souvent elles ont survécu à des choses terribles. Elles sont passé parfois de l'horreur au rêve. Comment leur dire de ne pas faire ceci ou celà alors que la majorité des gens autour d'elles possède et utilise ces choses qui semblent bien leur faciliter la vie, et en tous cas, la rende apparemment plus agréable ? 

Pourtant, les nouvelles sont graves ! Les forêts sont brulées par des industriels en quête de terres agricoles, la pollution des océans ne s'arrête plus, les animaux disparaissent, les plantes et la biodiversité sont attaquées, la pollution crée un gros problème climatique. Des voix se sont levées depuis plusieurs années, mais malgré elles, rien ne semble freiner ces phénomènes qui ont déjà des conséquences terribles dans toutes les régions du monde. La démarche écologique est enfin respecté. Mais malgré celà, on est obligé de constater que les puissances économiques ne veulent rien savoir du respect de la nature. Elles continuent et accélère leur rythme de vie, et produisent toujours plus pour consommer plus. Tout ça au détriment des pays du sud qui souffrent déjà et souffriront encore plus des conséquences de leurs consommations si rien n'est fait pour arrêter ces croissances négatives pour l'environnement et la biodiversité.

On dit souvent que la Nature est bien faite, que la Nature sait se défendre. Eh bien c'est pourtant bien ce que l'on peut penser avec la crise sanitaire du corona virus (le virus Covid-19) depuis janvier 2020. En 3 mois, le virus, qui n'a pas encore de remède, s'est disséminé sur la planète entière ! C'est allé très très vite, et c'est lié à la mondalisation, et aux facilités de déplacements des humains. Les pays ont donc compris qu'ils doivent freiner la diffusion du virus donc les déplacements humains et les transports (avions, trains, voitures). Les populations doivent rester confinés chez eux !

Ils sont contraints de réduire ou de stopper des activités normalement essentielles pour leur développement. Celà entraine, malheureusement pour les objectifs des entreprises et des gouvernements, un frein énorme pour les productions, les échanges commerciaux, donc les économies des pays. Et, on s'en rend compte et c'est hallucinant car jamais vu: c'est mondial ! Ca fait très peur...

Il se trouve que paradoxalement à cet avenir incertain qui se profile à cause de cette crise sanitaire mondiale, la Nature se réjouit depuis que les humains ont diminué leur activité.

Le dangereux virus Corona (COVID-19) s'est invité dans la bataille du réchauffement climatique, et il donne vraiment de quoi réfléchir. La pandémie alimente maintenant polémiques et politiques: comportements humains, sociétés, guerre économique, virus fabriqué, comportements alimentaires, guerre des groupes industriels pharmaceutiques... Certains en rient, d'autres pleurent ou tombent dans la panique.

Espérons que cette crise s'arrêtera vite, et que les humains vont enfin s'unir pour trouver de vraies solutions pour freiner complètement leurs agissements contre Nature, cette mère Nature qui nous démontre encore une fois que nous vivons bien toujours avec elle.

La Nature s'est-elle définitivement fâchée contre les humains ?

 

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